Kajirus de soie

Création de Pride (usyllt)

PREAMBULE


Bonjour à tous ! Je vais tenter de dresser un récapitulatif, sur les Kajiri de soie. Peut être pas la première note francophone sur les Kajiri de soie, mais à ma connaissance, aucune ne s'étend vraiment sur le sujet.

  D'abord, j'aimerai aborder le sujet des esclaves masculins de manière générale. Comme vous le savez sans doute (en tout cas les joueurs de Kajiri, j’espère bien), l'esclavagisme sur Gor, c'est 80 à 90% de femelles soumises que Norman prend soin environs toutes les deux pages, à nous rabâcher qu'elles ne pourraient être femme libérée autrement. Je ne m'étendrai, bien sûr pas sur son idéologie, ce n'est pas le sujet. Quoi qu'il en soit, parmi les 10% de mâles enchaînés, admettez dors et déjà qu'au moins 90% d'entre eux travaillent sur les quais, dans les mines de sel, ou sont assignés à l'arène, et aux écuries de tharlarions, etc.

Je me penche donc sur les 10% des 10% des esclaves, les Kajiri de soie. (notez qu'au pluriel, Kajirus deviens Kajiri, suivant les règles grammaticales Latines). Vous constaterez pourtant, que dans la graaaande majorité des sim goréennes franco comme anglo, les Kajiri sont des esclaves appartenant à cette catégorie. Pourquoi ? La réponse est assez simple en fait. D'une, parce qu'un Kajirus traditionnel serait sans doute rébarbatif à jouer, trop de contrainte, sans véritable aspect sentimental, ni sociale (sauf entre Kajiri et en de rares occasions, Kajirae). Secundo, et c'est un avis totalement personnel, mais je pense qu'il y a beaucoup plus d'hommes qui aiment se soumettre, que ce que Norman veut nous laisser entendre.  Évidemment, le ratio est  trop élevé par rapport au bouquin, mais il en va de la liberté du joueur. Liberté chers amis !

L'EDUCATION DES KAJIRI DE SOIE





  L'éducation d'un Kajirus de Soie parait assez spécifique. Plus complexe et complète qu'on pourrait le croire. D’après le Champion de Gor, les esclaves masculins destinés aux soies sont élevés dans un lieu secret, qu'ils ne pourront jamais retrouver lorsqu'ils seront vendus (sans doute, pour qu'ils ne puissent pas rechercher le lieu si l'un d'eux retrouve sa liberté). Ils sont amenés, et sortis de cet endroit, aux moyens de drogues diverses (injectés par seringues, ou avec la poudre de Tassa), ou/et avec un capuchon d'esclave. Il semble qu'un certain "Andronicus" tient ce lieu, sans plus d'informations. On sait par contre, que la dresseuse y a pratiquement les pleins pouvoirs. Les critères qui déterminent ce qui fera un Kajirus de soie, dépendent essentiellement de la beauté, et une bonne constitution :

""Toutefois," poursuivit l'homme puissant, "ses traits semblent symétriques et son corps bien que mou et faible, est imposant"" Le Champion de Gor


  Les premiers jours du dressage, bien que celui ci ait été effectué sur un Terrien (que les Goréens considèrent comme "esclaves conditionnés"), sont consacrés à briser totalement l'individu, et lui faire prendre conscience de sa condition d'esclave en jouant du fouet sur lui (souvent sans raisons). Généralement, un homme est considéré comme esclave, à partir du moment où il préfère "l'humiliation de la servitude à la liberté d'une mort honorable". Le simple fait d'avouer être un esclave constitue pour un homme libre Goréen un choc psychologique assez puissant pour démarrer sa vie de servitude, et laisser sa vie aux mains des Maîtres sans se rebeller. A prioris, tous les hommes n'acceptent pas leur condition d'esclave, comme Tarl Cabot devant la Tatrix de Tharna (le banni de Gor). Dans Le champion de Gor, Jason affirme devant sa dresseuse qu'il n'est pas un esclave. Celle ci ordonne donc à deux hommes assignés à la tâche de lui faire comprendre son statut. Il sera suspendu par dessus une fosse à Sleen, des sleens dressés à poursuivre et tuer les esclaves, puis on le fera remonter au dernier moment. Il admettra alors sa condition d'esclave. Je suppose que la mort l'aurait attendu dans le cas contraire. La dresseuse devient alors la Maîtresse de l'homme, et à la première occasion, fera manger le Kajirus pour affirmer sa domination, et lui donnera ou non, un nom.

""-regarde moi dans les yeux"
J'obéis. Il me fut difficile de soutenir son regard.
 "-Lequel d'entre nous deux est plus fort ?" s'enquit-elle.
  "-Vous, Maitresse," répondis-je. Je n'avais jamais rencontré chez un être humain, une résolution aussi inflexible. Je compris que je ne pouvais pas lutter contre la puissance de sa volonté, la dureté de sa personnalité. Je ne pouvais que céder, impuissant, devant elle. Elle était totalement supérieure à moi. Elle était la Maitresse ; j'étais l'esclave." Le champion de Gor.


Une fois brisé, la deuxième partie de l'éducation pour un Kajirus de soie, n'est pas très éloignée de celle de la Kajira. Les leçons sont d'ailleurs enseignées, dans une large mesure, par des Kajirae. Il est soumis à des exercices physiques constants, et une nourriture simple, mais saine. Physiquement, ils n'atteignent jamais le physique qu'un Guerrier ou même un Kajirus d'écurie ou de combat, mais se présentent forts, et esthétiques.  Sexuellement parlant, le Kajirus doit évidement contrôler ses pulsions, mais la dresseuse ne semble pas souhaiter inhiber complètement la sexualité de l'homme, non seulement pour le plaisir de sa maîtresse, mais aussi parce qu’ils considèrent qu'il s'agit d'une stratégie de Terriens. Dina punit d'ailleurs Jason, qui s'était contenu alors qu'une Kajira punie lui avait été déposée dans sa cellule.

  Le Kajirus de soie est aussi formé au service du Vin par les Kajirae.

LE SERVICE DU VIN


Le service du vin est beaucoup plus simple que le service traditionnel d'une Kajira. Il n'est réservé, qu'à la Maîtresse du Kajirus de soie, et, sauf demande de sa part, rien n'indique qu'il puisse servir aussi dans un lieu publique. L'esclave est généralement sommé de s'agenouiller dans la pièce, et d'attendre l'ordre de sa maîtresse. Lors du repas, le Kajirus apporte les plats, puis va chercher le récipient de vin. Il s'approche ensuite de la table, avant de s'agenouiller à côté de la Maîtresse. (les tables goréenne sont basses). Puis il propose avec déférence

  "-"Du vin, Maitresse ?"

Si la réponse est positive, le Kajirus de Soie verse alors le vin dans le gobelet, à une vitesse adéquate. Seule la Maîtresse peut décider si le service a été correctement exécuté. Un proverbe est souvent rappelé aux Kajiri de Soie en apprentissage : "Seul compte le caprice de la Maîtresse".

  En dehors du repas, le Kajirus de Soie, lorsqu'il est appelé par sa Maîtresse, attend les ordres de sa Maîtresse, qui lui aura donné l'ordre de s'agenouiller dans un coin de la pièce. Lorsqu'elle demande du vin, l'esclave doit alors lui apporter le verre. Si la maîtresse rajoute à cette demande  "comme un esclave", il devra s’exécuter à la façon d'une Kajira  :

  "Je trouvais du vin, et lui en servis un peu. Ensuite, comme Lola l'avait fait pour moi, je pressais le gobelet contre la partie inférieure de mon abdomen puis le portai à mes lèvres et, inclinant la tête, l'embrassai. Puis, baissant la tête, assis sur les talons, les bras tendus, je l'offris à ma Maîtresse." Le champion de Gor.

Il attendra ensuite les ordres de sa Maîtresse pour se retirer.

LES PUNITIONS & RECOMPENSES ASSOCIEES AUX KAJIRIS DE SOIE


On trouve plusieurs punitions, toutes aussi terribles les unes que les autres pour les Kajiri de Soie. Les pires entraînent la mort. Seule la Maîtresse peut décider de cette sentence. La fuite n'est pas toujours punie par la mise à mort, mais elle l'est très sévèrement. Parmi ces punitions radicales, il y a la mort par  les différentes fosses à animaux mortels (Sleens, Tharlarion...), mais aussi l’écartèlement, et une suite consécutive de coup de fouet appelé "le Serpent". A noter que ce fouet particulièrement douloureux, est assez fréquemment utilisé contre les esclaves en court de dressage. Autre lourde sentence, le changement de statut de l'Esclave de Soie à, par exemple, l'Esclave d’écurie. Le changement, on l'imagine, peut être très difficilement vécu par certains esclaves. D'autant plus qu'il ne s'agit pas forcement d'une punition à proprement parler, pour la Maîtresse. Il ne faut pas oublier qu'au yeux des libres, les esclaves sont classés au même rang que les animaux. Et tout comme un bosk, lorsqu'il ne tire plus assez bien le chariot malgré ses efforts peut être tué, il en va de même pour un esclave. Concernant les sentences intermédiaires, le fouet traditionnel  est le principal, et il est souvent accompagné d'humiliations. L'esclave peut tout aussi bien être battu, tout simplement.



Les récompenses tout comme les punitions, sont liés au bon vouloir de la Maîtresse, et seulement de la Maîtresse. Elles se traduisent par de meilleurs vêtements, un collier moins lourd, des pâtisseries, un verre de vin bon marché, de la nourriture plus variée, une meilleure cellule, et parfois, bien qu'assez rarement chez les Kajiri de Soie (car les femmes libres s'attachent relativement bien à leur Kajirus de soie pour arriver à la jalousie), des femmes esclaves.

LA VENTE DES KAJIRI DE SOIE


Ces ventes se font par l'intermédiaire de Marchandes D'Esclaves (si si, vous avez bien lu) . Ils sont d'abord vendus à cette marchande par la dresseuse, et sont soumis, agenouillés, à une inspection. Cette inspection débute par le corps en général, puis elle s'attarde sur les dents (sans doute pour les implantations, les esclaves mâles Terriens étant quasi inexistants), et se termine parfois par un test de virilité. Une Kajira est sommée d'enlacer l'homme enchaîné, de l'embrasser... de l'allumer en fait. Je vous laisse imaginer, qu'est ce qui détermine la virilité de l'esclave. Tous ces éléments serviront à l’achat de la marchande à la dresseuse, qui les transportera dans des boites trouées (littéralement) jusqu'au lieu de la vente.


  Les esclaves sont amenés seuls et toujours capuchonnés, dans la salle de préparation. Là sera organisé dans la plus intacte incrédulité de son hôte, une mise en scène destinée à apporter le coup final dans l'asservissement de l'esclave. On imagine qu'il s'agit essentiellement d'une illusion de liberté, qui s’éteint alors devant le publique, constitué entièrement de femme libre très riches, et qui descendent pour la plupart de familles anciennes (désolé mesdames, aucune chance pour une poète de s'offrir un tel luxe !). La vente démarre alors, guidé par la marchande d'esclave qui n'hésite pas à démontrer toute l’efficacité de l'éducation de ses produits, par des ordres simples jusqu'à des humiliations publiques. Les esclaves qui se vendent chers, sont ceux qui, hormis la beauté, sont assez servile pour garder les mains détachées et exécuter les ordres les plus humiliants.Paradoxalement, la virilité d'un homme, est appréciée à condition qu'elle soit toute à disposition de ces dames. Des gardes armées surveillent de toutes manières la vente. Les prix varient entre 1 et 16 tarsk d'argent, à savoir que les esclaves chers sont à partir de 4 tarsk d'argent. La vente se termine souvent, par le contact du cuir sur la peau de l'esclave servile, après quoi, il n'est pas précisé son départ, mais on l'imagine aussi encapuchonné.

LE KAJIRUS DE SOIE APRES SA VENTE


  Une fois vendu, l'esclave masculin destiné aux soie remet sa vie et sa mort, son statut et son corps à sa nouvelle Maîtresse. Celle ci peut décider de n'importe quel châtiment ou récompense pour lui. En publique, ces Dames de haute familles considéreront leurs esclaves comme une marchandise, presque de collection, n'hésitant pas à les comparer, à les envier, voir même à sous entendre leurs réactions dans le lit. Il est particulièrement déplacé pour une femme, de demander à louer un Kajirus de Soie à une autre femme. La Maîtresse peut cependant décider de preter son Kajirus de Soie à sa guise. Parmi les lois Goréenne, nous savons qu'il est interdit à une femme d'utiliser dans le lit, un esclave qui n'est pas le siens.

Avant son utilisation sur le lit, le Kajirus de Soie est la plupart du temps préparé, lavé, peigné, et même parfois parfumé par les eaux de toilettes adaptées à certains types d'hommes esclaves.



Dans le lit, l'esclave masculin est attaché des chevilles jusqu'aux poignets jusqu'à chaque extrémités du lit, qui est de toute évidence, prévu à cet effet. La Maîtresse est ensuite libre d'exciter l'esclave à ses fins. Elle se refusera néanmoins de toucher n'importe quel partie de son corps avec ses lèvres. Deux raisons à cela, l'une est qu'elle considère le Kajirus de Soie comme impur, la seconde, est qu'elle ne souhaite pas donner une seule chance à son esclave pour prendre l'ascension psychologique sur elle. Un Kajirus de Soie doit satisfaire sa Maîtresse pendant l'acte.

L’esclave de Soie peut servir à d'autres tâches, hormis le lit et le service pendant les repas. En outre, il est un confident apprécié parmi les femmes de hautes famille, qui n'hésitent pas à leur livrer des secrets parfois lourds. Il n'est pas impossible qu'une femme libre s'attache à son Kajirus de Soie comme l'on pourrait s'attacher d'un animal de compagnie. Elle pourra aussi lui confier des courses à faire. A son collier sera accroché la bourse de Tarsk et la lettre qui permettra à l'esclave de récupérer ce dont sa Maîtresse a besoin. Dans le magasin, l'esclave ne passera jamais devant les libres, il patientera, agenouillé, dans un coin où il ne risque pas de déranger, que tout le monde soit passé, y comprit les clients qui viennent d'arriver. Il attendra ensuite que le marchand l'interpelle, et prenne sa commande. Il a le droit de demander la parole, mais si celle ci lui est refusée, il n'a d'autre choix que de se taire. Un libre peut à sa guise, laisser une note sur le collier de l'esclave "Cet esclave a été imprudent, je recommande vingt coups de fouet"

Lorsqu'il est accompagné de sa Maîtresse, celle ci a le choix de le laisser devant la boutique où elle daigne faire ses courses. Elle peut alors l'attacher aux anneaux d'esclaves qui se trouvent à l'entrée, ou à sa guise, selon la confiance qu'elle lui accorde, le laisser flâner sur la place. Il peut alors boire dans la fontaine, au même titre que les animaux. Les Kajirae ne leur accordent que très peu d'importance. Généralement, plus le Kajirus de Soie agira comme un "homme Goréen", et plus elle aura tendance à le craindre et, paradoxalement, à être attiré par lui. Il n'est pas rare qu'une Kajira puisse être excitée par l'un d'entre eux, si celui là a l'allure d'un Maître Goréen. Bien sur, toucher une esclave est sévèrement réprimandé et punissable pour un Kajirus de Soie. Les libres cependant, ne surveille que très peu les esclaves dans la rue.



"-"Je t'en prie, non, Maîtresse," supplia Melpomene, tendant les mains vers la Maîtresse. Elle ne pouvait pas croire que l'on l'a traite ainsi. Obliger une femme à servir un homme esclave est l'humiliation suprême." Le champion de Gor.

En outre, si une femme libre (qui n'est pas la Maîtresse) surprend un coït entre deux esclaves, elle n'exprimera généralement que son dégoût le plus profond. Tous les libres ont le droit de recommander une punition pour les esclaves qu'ils surprennent en faute, mais beaucoup ne feront que les ignorer, sauf si la faute leur est  préjudiciable.

Les entraînements physiques ne s’arrêtent à priori pas, sauf sous l'ordre de la Maîtresse.

LES VÊTEMENTS DES KAJIRI DE SOIE


 Comme leur nom l'indiquent, les Kajiri de soie portent... de la soie. L'habit le plus courant, est la tunique de soie. Le Kajirus peut le rabattre jusqu'à sa taille. C'est un vêtement très rapide à enlever. Pour ceux pour qui la Maîtresse décide de faire pousser les cheveux, ces derniers sont attachés au moyen d'un ruban. A noter qu'un Kajirus peut porter une tunique entièrement blanche sans pour autant, être une soie blanche (ce qui me parait d'ailleurs, assez improbable sur Gor).

 Concernant le collier, il peut varier en poids et en matériau. Le Kajirus de Soie indiscipliné, ou maladroits, portera normalement un lourd collier métallique, tandis que le Kajirus qui parviendrait à combler sa Maîtresse serait gratifié d'un collier émaillé, ou voir même plus embelli encore, et au moindre poids. Tout porte à croire cependant, que même les plus légers colliers de Kajirus de Soie rendrait leur tentative d'échappatoire particulièrement compliquées, à tel point qu'il ne l'envisageraient sûrement pas sans s'en être débarrassé avant. Les messages indiqués sur le collier définissent souvent qu'il sont la possession du nom de leur Maîtresse. Lors de leur dressage, le message diffère seulement, indiquant de ramener les esclaves en question aux domaines auxquels ils se sont échappés, afin qu'ils soient punis.

LE COMPORTEMENT DES KAJIRI DE SOIE


 Je distinguerai déjà deux sortes de comportement chez les Kajiri de soie. Il y a ceux qui, sous l'effet de la force, du fouet, et d'un exercice soutenu de domination, deviennent totalement soumis à leurs maîtresses. Généralement, ceux là répondent à toutes les actions positivement, quel-qu’en soit l'humiliation générée par celle ci. Ils leur arrivent d'agir à la façon d'une Kajira, comme par exemple, l'esclave enchaîné devant le magasin de tissus dans "le champion de Gor", et qui menace le héros, Jason, lui aussi Kajirus de soie, de répéter ses mauvaises actions (des actions qu'un homme goréen peut concevoir) à la maîtresse du héros. Norman ne prouve leur existence, que par des paraphrases de personnages, libres ou esclaves, indiquant que Jason "n'est pas un Kajirus de Soie", car il agit avec trop de virilité, et sans aucune intelligence émotionnelle, désirant, voir utilisant des Kajirae sans autorisation. Ces comportements à contrario, semblent tout à fait concevables et beaucoup plus surveillés chez les autres types Kajiri. 

Le deuxième comportement, est justement plus rapporté à celui de Jason. Les femmes libres, en règle générale s'émoustillent devant un Kajirus de soie, car elles fantasment et feignent de craindre qu'il puisse se servir d'elles comme un Maître Goréen, une fois les mains déliées. Dans la logique de l'auteur, on imagine très bien que Jason n'est pas l'exception qui confirme la règle, et que d'autres mâles sur-testostéronés comme lui attendent la moindre seconde d’inattention pour reprendre le dessus sur la Maîtresse.

Généralement, les hommes libres accordent beaucoup plus de clémence au deuxième cas, même si pour la majorité, ils n'apprécient guère les deux.

"-"Il est regrettable qu'une belle femme perde son temps avec un Esclave de Soie," dit-il. "Elle devrait ramper, portant un collier, aux pieds d'un homme véritable."" Le champion de Gor.

CONCERNANT LES "MAITRES" ?


Avouons les choses, posséder un Kajirus de Soie en tant que Maître Goréen serait assez mal vu par les autres Goréens. Il n'est pas impossible qu'un femme qui serait compagnon d'un Homme Goréen puisse entreprendre l’achat d'un Kajirus de Soie. Elle ne le fera, dans la majorité, craignant la réaction de son homme. Si cela devait arriver, l'homme deviendrait lui aussi alors Maître du Kajirus de Soie.

"-"Mon Compagnon ne me permettrait pas d'avoir un animal comme toi," dit l'autre." Le champion de Gor.

Pour ceux qui malgré tout, souhaiteraient disposer de leur Kajirus, hormis les traditionnels Kajirus d'écurie ou de combat, il existe une catégorie de Kajiri appelés Kajirus de Séduction. Ceux là sont formés au charme des femmes, afin que celles-ci tombent dans le piège de la tentation, et deviennent une fois prises sur le fait, l'esclave du Maître qui posséderait l'esclave de Séduction.

"Any free women who couches with another's slave, or readies herself to couch with another's slave, becomes herself a slave, and the slave of the slave's master. It is a clear law."
"No! No!" she wept.
"Think of it in this fashion, if you wish," he said. "You have given yourself to Milo, but Milo is mine, and can own nothing, and thus you have given yourself to me. An analogy is the coin given by a free person to a street girl, which coin, of course, does not then belong to the girl but to her master. What is given to the slave is given to the master." Magicians of Gor.

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