Le mot "taluna" est jamais traduit dans les livres que nous ne pouvons pas dire que «taluna» signifie «panthère». Cependant c'est un dialecte des terres intérieur qui les désigne et non un mot goréen.
Les Talunas sont généralement des femmes blonde à la peau blanche, qui ont choisi de vivre dans la jungle près du Schendi. , Ce sont d'anciennes femmes libres, certaines sont des esclaves en fuite provenant de différentes villes du Sud. Elles ont des similitudes avec les panthères des forêts du nord comme celle de fuir leur condition en cité pour vivre pleinement leur liberté. De ce sacrifice elles font leur maximum pour survivre dans la jungle et se protéger des dangers venant des hommes et des animaux.
Les talunas utilisent des lances, des arcs et des couteaux, mais ne manie l'épée. Elles sont de très bon archers n'ayant recu aucune formation aux combats.
Les Talunas portent des peaux courtes d'animaux, des colliers de griffes et des ornements parfois en or. Elles vivent dans de petites huttes de chaume en petites bandes organisé dont la plus grande hutte est pour la chef uniquement. Leur survie dans la jungle est grâce à la chasse et au commerce, cependant les Talunas ne sont pas connus pour avoir des cercles de danse comme les panthères qu'elles chassent si elles s'aventurent dans leur jungle.
Les Talunas méprisent les esclaves et celles du groupe que Tarl avait rencontré ont asservi un groupe de pygmées. Les petits hommes étaient leur eslave et faisait la chasse et la pêche pour elle. Cependant Tal Carbot exprime le fait que ces femmes une fois capturé en serait les plus belle esclave, car durant tout ce temps d'hostilé constant envers l'homme, durant leur sommeil agité elles en montrent un désir inavoué qu'elles ont envie d'avoir un maitre.
Il y a peu d'indications sur le nombre de bandes de taluna qui existe et quelles différences peuvent exister entre elles. Cependant les Talunas restent principalement dans leurs jungles. Si elles entrent dans une ville, elles seraient très probablement asservis très rapidement. Ceci est parce qu'elles sont considérés comme des hors la loi et les hors la loi sont interdits d'entrér presque dans toutes les villes. Une raison est que l'empalement est une punition courante pour un hors la lois capturé en cité bien que pour une femme hors la lois elle est le plus souvent soumise à l'esclavage.
Les panthères pourraient probablement être vu dans les foires Sardar où une trêve existe et elles peuvent marcher en toute sécurité autour. Sauf que pour les Talunas ce serait un trop long périble pour s'y rendre, donc il est peu probable qu'elles aient assistés une seule fois àux foires de Sardar.
Quelques citations, extrait les explorateurs de Gor.
1.
« Oh, hommes ! » entendîmes-nous. « Hommes ! Hommes ! Je vous en prie, aidez-moi. Ayez pitié
de moi ! Aidez-moi ! »
« Regarde, Maître ! » cria Alice. « Là-bas, près de la rive ! Une femme blanche. »
Elle était brune et avait les cheveux noirs. Elle portait de courts vêtements de peau. Elle courut au
bord de l’eau. Ses mains n’étaient pas attachées ensemble mais, à chaque poignet, une corde nouée
était suspendue. C’était comme si elle avait été attachée, puis, d’une façon ou d’une autre, libérée.
« Je vous en prie, sauvez-moi ! » cria-t-elle. « Aidez-moi ! »
J’examinai les vêtements de peau qu’elle portait. Je remarquai également qu’elle avait un bracelet
en or et, au cou, un collier de griffes. Elle avait aussi, à la taille, une ceinture avec un fourreau de
dague, bien que ce fourreau soit vide.
« Sauvez-moi, s’il vous plaît, Nobles Seigneurs ! » sanglota-t-elle. Elle avança un peu dans l’eau.
Elle tendit pitoyablement les mains vers nous. Elle était très belle.
J’examinai la forêt, derrière elle. Les arbres étaient gros et les buissons, près de la rive, épais.
Nous plongeâmes nos pagaies dans l’eau, Kisu et moi.
« Maître ! » cria Janice. « Tu ne peux pas l’abandonner ici ! »
— « Silence, Esclave ! » lui ordonnai-je.
— « Oui, Maître, » répondit-elle. Elle ravala un sanglot. Elle plongea à nouveau sa pagaie dans
[.....]
Sur la rive, enchaînée à un pieu, nous aperçûmes une femme blonde.
« Je vous en prie, aidez-moi ! » cria-t-elle, tirant sur ses chaînes. Comme la première, elle portait
de courts vêtements de peau ; comme la première, elle avait un bracelet et un collier. En outre, elle
avait un anneau en or à la cheville gauche.
Nous sortîmes nos pagaies de l’eau.
— « Jolie fille, » apprécia Kisu.
— « Oui, » admis-je.
« Je vous en prie, aidez-moi ! » cria la femme, tirant sur ses chaînes. « Sauvez-moi ! Ayez pitié de
moi ! On m’a abandonnée ici pour que je meure ! Ayez pitié de moi ! Sauvez-moi ! S’il vous plaît,
sauvez-moi ! »
— « Je crois que nous nous sommes attardés assez longtemps ici, » déclara Kisu. « Cet endroit est
dangereux. »
— « D’accord, » dis-je.
— « Ne partez pas sans elle, je vous en prie, Nobles Maîtres, » supplia Janice.
— « Je vous en prie, Maîtres, » supplia Alice.
— « Je t’en prie, Maître, » supplia Tende.
— « Quelles petites imbéciles vous faites ! » siffla Kisu. « Ne voyez-vous pas que c’est un
piège ? »
— « Maître ? » demanda Tende.
Kisu rejeta la tête en arrière et rit.
— « Maître ? » s’enquit Janice.
— « Elles parlent goréen, » fis-je remarquer. « Par conséquent, elles ne sont pas originaires de la
jungle. La couleur de leur peau, à elle seule, blanche, devrait te l’indiquer. Prends le cas de la
première femme. Les cordes attachées à ses poignets étaient trop longues pour toute façon ordinaire
d’attacher. Cinquante centimètres de corde suffisent amplement pour lier les mains d’une femme
devant le corps ou dans le dos. En outre, on attache généralement les deux poignets ensemble, ce qui
permet de faire un seul noeud, et on ne les lie pas séparément. »
— « Peut-être était-elle attachée autour d’un arbre, » émit Janice.
— « Peut-être, » admis-je. « Mais la corde avait été coupée, elle n’était pas effilochée. Comment
aurait-elle été coupée ? »
— « Je ne sais pas, Maître, » répondit-elle.
— « Tiens également compte du fait, » repris-je, « qu’elle avait toujours sa ceinture et le fourreau
de sa dague. Un ravisseur normal les lui aurait sûrement retirés. À quoi ces objets pourraient-ils
servir dans le cas d’une femme capturée ? »
— « Je ne sais pas, Maître, » répondit-elle.
— « De plus, » repris-je, « comme la femme du poteau, elle portait des vêtements et des bijoux.
Une des premières choses que fait un ravisseur, ordinairement, avec une femme, c’est de lui prendre
ses vêtements. Elle n’est pas autorisée à cacher des armes. En outre, cela lui permet de comprendre
qu’elle est capturée. De plus, naturellement, le ravisseur a envie de voir la beauté de sa capture. Cela
lui fait plaisir. Et, bien entendu, il a souvent envie d’estimer sa valeur marchande ou la quantité de
plaisir qu’il pourra la contraindre à lui procurer. Au moins, il semble raisonnable que ses bijoux,
surtout ceux qui sont en or, lui soient retirés. Il n’y a pas de raison de laisser des bijoux de valeur sur
le corps d’une femme capturée. La place de ces objets est dans le sac où le ravisseur met son butin.
Bien entendu, son maître pourra, par la suite, la contraindre à les porter. Tiens compte, ensuite, de la
nature et de l’état de ses vêtements. Les vêtements ne sont pas déchirés. Ils ne portent pas de signes de
lutte, ou du fait que leur propriétaire ait été abusée. En outre, ils sont en peau, comme ceux qui
pourraient appartenir à une femme libre ou une chasseresse, et non en rep ou en tissu d’écorce,
comme il conviendrait à une esclave. »
— « Leurs corps, de plus, » ajouta Kisu, « ne portaient pas de traces de fouet ou de coups. Elles ne
venaient vraisemblablement pas d’être capturées. »
— « D’autres indices montrent également qu’elles ne sont sans doute pas ce qu’elles paraissent
être. Prends la femme du poteau, ses mains ne sont pas attachées au-dessus de sa tête, ce qui aurait
pour effet d’accentuer la ligne de ses seins. Il faut comprendre que le poteau sert souvent à exposer
une femme, pas seulement à l’attacher. Telle qu’elle était, nous ne pouvions même pas être certains
qu’elle avait bien les mains liées dans le dos. Nous ne pouvions pas voir. En outre, les ravisseurs
originaires de cette jungle ne disposeraient certainement pas de chaînes. »
« Je vous en prie, aidez-moi ! » cria plaintivement la femme.
— « Depuis combien de temps es-tu attachée à ce poteau ? » lui demandai-je.
— « Quatre jours, » répondit-elle. « Ayez pitié de moi ! Aidez-moi, je vous en prie ! »
« As-tu encore des doutes ? » demandai-je. « Regarde son état. Elle est toute fraîche. Donne-t-elle
vraiment l’impression d’avoir été attachée quatre jours à ce poteau ? »
— « Non, Maître, » répondit Janice.
— « De plus, » ajoutai-je, « si elle avait passé la nuit ainsi enchaînée, n’est-il pas probable que les
tharlarions l’aient découverte et dévorée ? »
— « Si, Maître, » reconnut Janice.
— « En outre, l’épaisseur des buissons et des arbres de cet endroit m’engage à la méfiance car ils
pourraient parfaitement cacher de nombreuses personnes en embuscade. »
— « Peut-être devrions-nous nous dépêcher de partir, » dit Tende, regardant autour d’elle.
— « Prenez vos pagaies, » décida Kisu. « Partons. »
« Arrêtez-vous, s’il vous plaît ! » supplia la femme enchaînée. « Ne laissez pas une pauvre femme
mourir ici ! »
— « Mais pouvons-nous vraiment la laisser ? » demanda Janice.
— « Oui, » répondit Kisu.
Janice gémit.
— « Pagaie ! » ordonnai-je.
— « Oui, Maître, » répondit-elle.
Notre pirogue s’éloigna et nous nous retournâmes.
« Poursuivez-les ! » cria la femme. Elle se débarrassa de ses chaînes et, se baissant, ramassa une
lance légère. De nombreuses femmes similairement vêtues et armées sortirent des buissons. Des
pirogues furent poussées sur l’eau.
— « Peut-être, à présent, pagaieras-tu plus énergiquement, » dis-je.
— « Oui, Maître, » dit Janice.
Il y avait à présent à peu près huit pirogues derrière nous. Chacune d’entre elles contenait cinq ou
six femmes. À la proue de la première, se tenait la femme blonde qui avait feint d’être enchaînée. À la
proue de la deuxième, se tenait la brune aux jambes minces que nous avions vue précédemment. Les
cordes étaient toujours attachées à ses poignets.
— « Vont-elles nous rattraper ? » demanda Alice.
— « C’est peu probable, » répondis-je. « Il n’y a pas plus de six pagayeuses par pirogue. Dans la
nôtre, il y a également six pagayeurs, dont trois hommes. »
Moins d’un quart d’ahn plus tard, nous avions considérablement augmenté notre avance.
« Te souviens-tu, Janice, » demandai-je, « que dans un village, il y a longtemps, un homme a
demandé si tu étais une Taluna ? »
— « Oui, » répondit-elle.
— « Derrière nous, » repris-je, « ce sont des Talunas. »
En une demi-ahn, nous avions complètement distancé nos poursuivantes. Quelques ehns plus tard,
elles renoncèrent.
[...]
2.
Alors, avec stupéfaction, lorsqu’elle fut en sécurité, tremblante, je vis les petits hommes se rassembler autour d’elle et s’agenouiller, posant la tête par terre.
— « Qu’est-ce que cela signifie ? » demanda-t-elle.
— « Ils t’expriment leur respect et leur obéissance, » dis-je.
— « Je ne comprends pas, » dit-elle, effrayée.
— « Bien sûr, » dis-je. « Tout s’éclaire. »
— « Quoi ? » demanda-t-elle avec frayeur.
— « Debout ! Debout ! » dis-je aux petits hommes. « Levez-vous ! Levez-vous ! »
Terrifiés, les petits hommes se redressèrent.
J’adressai un regard dur à Janice.
« N’es-tu pas une esclave, en présence d’hommes libres ? » demandai-je.
— « Pardonne-moi, Maître, » s’écria-t-elle. Elle s’agenouilla rapidement. Les petits hommes la
considérèrent, stupéfaits et effrayés.
— « Pose la tête sur leurs pieds ! » ordonnai-je. « Embrasse leurs pieds. Supplie-les de te
pardonner l’affront que tu viens de leur faire ! »
Janice baissa la tête et embrassa les pieds des petits hommes.
— « Pardonnez-moi, Maîtres, » supplia-t-elle.
Ils la regardèrent avec stupéfaction.
— « Debout ! » ordonnai-je à la femme. Puis, rudement, je lui attachai les mains dans le dos. Les
petits hommes approchèrent afin de s’assurer qu’elle avait véritablement les mains attachées.
« C’est une esclave, » leur expliquai-je.
— « Nous sommes les esclaves des Talunas, » dit un homme, le chef.
Je hochai la tête. C’est ce que j’avais pensé, compte tenu de leur comportement. C’était, en outre,
par les Talunas qu’ils avaient appris le goréen.
— « Les hommes ne doivent pas être les esclaves des femmes, » déclarai-je. « Les femmes
doivent être les esclaves des hommes. »
— « Nous sommes petits, » dit un homme, « les Talunas sont trop grandes et trop fortes. »
— « On peut les prendre et les asservir, comme toutes les femmes, » dis-je.
— « Aide-nous à nous débarrasser des Talunas, » demanda le chef.
— « J’ai des affaires à régler, » répondis-je.
Le chef hocha la tête.
Puis je pivotai sur moi-même et suivis la femme, mon esclave, en direction du lagon. Surpris, je
constatai que les petits hommes, sur une file, me suivaient. Près du lagon, je ramassai les colliers de
perles et le morceau de tissu d’écorce, dont la femme s’était débarrassée pour prendre un bain. Je lui
mis les colliers au cou. J’ajustai la bande de tissu d’écorce sur ses hanches. Puis je regardai la forêt et
le soleil. J’estimai qu’il était trop tard pour chasser. Alors je pivotai sur moi-même et, suivi par mon
esclave blonde, je repris le chemin du camp. Les petits hommes, sur une file, m’emboîtèrent le pas.
« Kisu ! » appelai-je, inquiet. « Ayari ! Tende ! Alice ! »
Il y avait indubitablement, dans le camp, des traces de lutte. En outre, sur le sol, je trouvai du sang.
— « Ils sont partis, » dit le chef des petits hommes. « Ils ont été pris par les Mamba, ceux qui
arrachent leurs dents. »
Mamba, dans presque tous les dialectes de la rivière, désigne généralement presque tous les types
de tharlarions de proie. Les Mamba étaient par conséquent, pour ainsi dire, les Tharlarions. Les
Mamba mangeaient de la chair humaine. Les tharlarions aussi. C’était sans doute pour cette raison que
ce peuple portait ce nom.
— « Comment savez-vous que c’étaient les Mamba ? » m’enquis-je.
— « Ils sont venus à pied dans la forêt, » dit le chef des petits hommes. « Il est probable qu’ils
vous suivaient. Il est probable qu’ils voulaient vous surprendre. »
— « Comment savez-vous que c’était eux ? » insistai-je.
— « Nous les avons vus, » expliqua un homme.
— « C’est notre pays, » dit un autre. « Nous savons pratiquement tout ce qui s’y passe. »
— « Les avez-vous vus attaquer ? » m’enquis-je.
— « Nous ne voulions pas être près, » dit un autre homme.
— « Nous sommes petits, » ajouta un autre. « Ils étaient nombreux, et ils sont grands. »
— « Nous les avons vus emmener tes compagnons, » dit un autre.
— « Ils étaient vivants, à ce moment-là ? » demandai-je.
— « Oui, » répondit un autre homme.
— « Pourquoi ne m’avez-vous pas dit cela plus tôt ? » demandai-je.
— « Nous pensions que tu étais au courant de l’attaque, » expliqua un des hommes, « et que tu
avais réussi à t’échapper. »
— « Non, » dis-je. « Je chassais. »
— « Nous te donnerons de la viande, si tu veux, » proposa un petit homme, « La chasse a été
bonne, aujourd’hui. »
— « Je dois essayer de secourir mes compagnons, » dis-je.
— « Les Mamba sont trop nombreux, » dit un petit homme. « Ils ont des lances et des poignards. »
— « Je dois essayer, » insistai-je.
Les petits hommes se regardèrent. Ils parlèrent rapidement dans une langue que je ne compris pas.
Quelques mots, mais très rares, étaient identifiables. Il y a des liens de parenté linguistique entre
pratiquement toutes les langues de la rivière. La langue qu’ils parlaient, toutefois, était très éloignée
de l’ushindi et de l’ukungu.
Quelques instants plus tard, les petits hommes se tournèrent vers moi.
— « Échangeons des cadeaux, » dit le chef. « Débarrasse-nous des Talunas et nous t’aiderons. »
— « Vous devez être très braves, » leur dis-je.
— « Il nous arrive d’être braves, » répondit l’un d’entre eux.
— « Vous chassez à la lance et au filet, » dis-je. « Voici mon plan. »
3.
LÉGÈREMENT, je sautai à l’intérieur de la palissade des Talunas. Elle contenait plusieurs petites huttes couvertes de chaume. La visibilité était bonne, dans la lumière des trois lunes.
Je progressai silencieusement, en rampant, m’arrêtant de temps en temps pour écouter, vers les huttes centrales. Dans une hutte, fermée de l’extérieur, j’entendis un bruissement de chaînes.
Je choisis la hutte la plus imposante et la plus grande, qui se trouvait au milieu du camp.
À plat ventre, silencieusement, j’y entrai. Le clair des lunes pénétrait entre les pieus formant les murs de la hutte. Elle dormait à l’intérieur, vêtue de ses courts habits de peau. Ses armes étaient dans un coin de la hutte. Elle était couchée sur une natte, ses cheveux blonds défaits. J’examinai ses cuisses, remontant les peaux qu’elle portait. Elles n’avaient jamais été marquées. Elle se tourna nerveusement.
C’était la femme qui avait feint d’être enchaînée à un pieu. J’étais convaincu qu’elle commandait les Talunas. Elle avait donné des ordres, pendant notre poursuite. Elle ne partageait pas sa hutte avec une autre femme.
Elle passa nerveusement le bras au-dessus de la tête. Je vis ses lèvres bouger. Je souris.
C’était une femme rongé par le désir. Elle gémit. J’attendis que ses bras soient à nouveau contre ses flancs et qu’elle soit sur le dos. Je la vis lever les hanches, dans son sommeil. Elle avait envie des caresses d’un homme. Ces femmes, pendant les heures de veille, sont souvent tendues et nerveuses ; il n’est pas rare, en outre, qu’elles soient irritables ; et, souvent, elles sont hostiles aux hommes ; bien souvent, elles ignorent les causes du malaise constant dans lequel elles vivent ; comme elles seraient horrifiées si on leur disait qu’elles sont des femmes et ont envie d’un maître !
4.
j’ai entendu les chaînes d’un prisonnier. Les chaînes étaient lourdes. Il s’agissait probablement d’un homme. Les femmes telles que les Talunas ont souvent un ou deux esclaves. Ils sont utiles, notamment, dans les travaux difficiles. Je le laisserais enchaîné jusqu’à ce que sa nature ait pu être déterminée. C’est peut-être un bandit. Ensuite je suggère de fouiller l’intérieur de la palissade à la recherche d’autres esclaves et d’objets de valeur. Après, à votre place, je brûlerais le village. »
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