Les esclaves du Torvaldsland ( Nord )

Parmis toutes mes recherches je peu dire que toute esclaves se valent autant par la rudesse de l'éducation que du lieu mais entre les esclaves du Sud ( Kajirae, Kajirii ) et les esclaves du Nord ( Captive, Serf ) ce n'est pas le grand amour.

LES ESCLAVES DANS LE NORD (LE TORVALDSLAND)





Les Captives

Les hommes du Nord aiment généralement les captives qui ont une grosse poitrine et les hanches larges qu’on appelle aussi le berceau d’amour. Quoi de mieux certains diront à avoir de la matière dans entre les mains. 

Les captives portent des robes blanches de laines et ont les cheveux libres. Tout comme dans le sud, elles peuvent porter des boucles d’oreilles. Par contre elles peuvent aussi avoir des bottes en peau tout comme des fourrures. On est dans le nord et le climat est pas celui du soleil et de la tasse de thé.



Dans le nord, on donne parfois des noms descriptifs correspondant à l’une des particularités de la captive comme un surnom et cela même pour des libres.

"Svein Dent Bleue et ses lieutenants précédant les lignes d’hommes, au moment où les femmes, terrifiées, voyaient les haches et les armes levées sur elles, firent un signe qu’aucune captive du Nord n’ignore, le signe du ventre. Presque toutes en même, en hurlant, les femmes se jetèrent à plat ventre…"
 (Les Maraudeurs de Gor)

Les captives travaillent aussi dans les champs, au métier à tisser, elles font le beurre ou le pain,  ramasse les crottes de verr pour les feux.Ce sont des bonnes travailleuses autant qu'elles doivent aussi à tout moment pouvoir servir un libre. Car généralement après leur tâche de dure labeur elle se dirige dans le grand hall afin de les servir. Elles n'ont pas toute l'éducation d'une kajira et sont souvent aussi rebelle vue par la rudesse du lieu, mais elles sont des esclaves accomplies par leur obéissance.

La nuit elles restent dans la grande salle pour servir les hommes libres une fois que les femmes libres n'y sont plus. Elles peuvent aussi être attachées selon de désir du Jarl qui l’utilise.

« La nuit, les serfs sont enchaînés dans l’appentis des bosks; les captives restent dans la salle, pour servir le plaisir des hommes libres. Elles passent souvent de l’un à l’autre. Le dernier utilisateur a, néanmoins, la possibilité de l’attacher. »

« Je n’avais pas davantage de droits sur la jolie captive que les autres hommes de Forkbeard. La délicieuse petite jeune femme, comme toutes les autres bonnes choses de la salle, appartenait à tout le monde. »

Les captives du Nord utilise "fille de soie" pour les kajirae du sud car elle  pensent que leur consoeurs du Sud sont des femmes gâtées, maquillées à l’excès, capricieuses et caressées comme des animaux familiers, et n’ont rien à faire, à part se parer et attendre leur Maître, lovées sur des couvre-pieds épais et pourpres, brodés d’or. Ce pendant, l’asservissement du Sud leur fait peur car le joug de l’esclavage est plus lourd pour les esclaves du Sud.

"…bien que l’esclave du Sud travaille, à mon avis, moins dure que la captive du Nord, qui vit généralement dans une ferme isolée, elle est fouettée plus souvent que sa sœur du Nord; à mon avis, elle est soumise à une discipline plus rigoureuse; les maîtres du Sud sont durs avec leurs femmes, exigeant davantage d’elles et s’assurant qu’ils l’obtiennent; les filles du Nord, par exemple, apprennent rarement l’art élaboré, complexe et sensuel des esclaves; la fille du Sud, dans son désespoir, doit souvent l’apprendre à la perfection; en outre, sur ordre, elle doit le mettre en application joyeusement et adroitement." 
(Les Maraudeurs de Gor)

Les esclaves du Sud considèrent généralement leurs consoeurs nordiques comme des idiotes, des femmes rustiques des montagnes du Torvaldsland ; elles se les imaginent passant tout leur temps à nourrir les tarsks et à fumer les champs; elles les considèrent, en définitive, comme des femelles de bosks, qui travaillent, procurent des plaisirs simples à des hommes rudes et donnent naissance à des serfs.Et oui elles ne s'aiment pas et ont toutes deux des appriorient sur ce qu'est l'autre type d'esclave alors que chacunes vit son esclavage avec autant de dévotion que de travail, le lieu et la méthode étant des points essentiels à cette différence

Le Cercle des Captives


Il s’agit d’un cercle de cinq à six mètres de diamètre tracé sur le sol avec le manche de la hache. Bien que se cercle peu être fait de n'importe qu'elle manière, soit avec des cailloux, dessiné sur le sol. Le cercle est symbolique et déclare toute personne qui y pénètre comme étant une esclave ou un esclave à vie.

"Entrer dans le cercle, lorsqu’on est une femme, selon les lois du Torvaldsland, c’est reconnaître qu’on est captive. Naturellement, il n’est pas nécessaire que la femme y entre volontairement. On peut la jeter à l’intérieur, nue et attachée. Quelle que soit la manière dont elle entre dans le cercle, volontairement ou sous la contrainte, libre ou attachée, elle en sort, conformément aux lois du Torvaldsland, captive." (Les Maraudeurs de Gor)



La Marque



La marque du « Nord » se compose d’un demi-cercle avec à son extrémité droite, une diagonale. Le demi-cercle fait environ cinq centimètres de diamètre et la diagonale, approximativement quatre centimètres de long. La marque est symbolique, on dit que la captive est une femme dont le ventre se trouve sous l’épée.


Le Collier



Il se compose en deux parties forgés directement sur le cou de l’esclave et fermés avec des rivets. L’intérieur du coller est à environ un demi centimètre du cou. Il comporte trois anneaux, un devant sur l’une des parties du collier et deux petits anneaux plats et robuste sur les cotés au niveau des rivets.

Les Serfs


Au cou, ils portent une bande de fer noir à laquelle est soudé un anneau. Les serfs ont les cheveux courts et portent généralement de courtes tuniques de laine blanches.
Ils travaillent principalement dans les champs, ils peuvent aussi pêcher.
La nuit, ils sont enchaînés dans les appentis, généralement ceux des bosks.
Les serfs n’ont pas le droit de toucher les captives car elles sont la propriété des hommes libres. C’est un geste grave qui peut être puni de mort.

"Pour un serf, le simple fait de toucher une arme peut signifier la mort." (Les Maraudeurs de Gor)
Un serf n’est rien, autant la femme a une certaine valeur autant le serf ne vaut pas plus qu’un urts.
"Animal méprisé, il doit obéir immédiatement et parfaitement, sous peine d’être tué sur-le-champ." (Les Maraudeurs de Gor)

Les Punitions


La rame :
La femme, nue ou habillée, est solidement attachée à une rame, les mains dans le dos, la tête en bas, vers la pelle. "Quand la rame ressort de l’eau, la captive a à peine le temps de reprendre son souffle qu’elle replonge déjà dans l’eau.
Une ahn sur la rame suffit généralement pour transformer la femme la plus froide et orgueilleuse en captive obéissante, prête à tout pour plaire." (Les Maraudeurs de Gor)
C’est une punition qui comporte des risques car les spleens marins ou les requins blancs du Nord cherchent à les attraper quand ils ont faim.

La Glacière :
Les captives peuvent aussi être jetées dans la glacière pieds et poings liés.

Le poteau :
Il s’agit d’un gros avec un anneau métallique près du sommet auquel sont attachés les poignets des esclaves. Le poteau se dressant au centre du village ou devant la salle. Il peu exister deux poteaux, un pour les captives, l’autre pour les serfs, dans ce cas.

Le fouet des fourrures :
Il s’agit du fouet goréen à 5 lanières. C’est un fouet douloureux utilisé pour les captives car il ne laisse pas de marques. Il apprend à la femme ce qu’elle est, une esclave.

Le reptile ou le serpent :
Il s’agit d’un fouet à une seul lanière, lestée, de cuir tressé, faisant deux mètres et un centimètre d’épaisseur. Il est utilisé pour punir les serfs car ce fouet est capable d’arracher la peau du dos d’un homme. Il n’est certainement pas utilisé pour châtier une femme car des cicatrices la dévaloriseraient. Pour les serfs, personne ne s’inquiète de savoir s’il porte des marques.

Être jetée aux serfs :
"- Parfois, dit-il, les captives récalcitrantes sont jetées, nues, parmi les serfs." (Les Maraudeurs de Gor)

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