Les coutûmes du torvaldsland et le commerce




LES CROYANCES DANS LE TORVALDSLAND



Selon la légende goréenne les Prêtres-Rois ont créé l'homme avec de la poussière du sol et du sang du Tarn.


Selon les légendes du Torvaldsland telle n'est pas l'origine de l'homme. Les dieux, réunis en conseil décidèrent de fabriquer un esclave car ils étaient tous des dieux et n'avaient pas d'esclave. Ils prirent une houe, un instrument aratoire, et la posèrent au milieu d'eux. Puis ils aspergèrent cet outil d'eau et le frottèrent avec la sueur de leurs corps. De cette houe naquit la majorité des hommes.
Mais la même nuit, un autre dieu, curieux ou négligeant ou chassé de la salle et furieux, jeta sa hache énorme par terre, il l'aspergea de paga et de son sang ; et la hache se mit à rire, elle se leva d'un bond et s'enfuit. Les dieux, tous réunis, ne purent la reprendre et la hache fut à l'origine de la race qui habite le Torvaldsland.

Ainsi qu'il existe une autre légende celle de Thorvald, le premier avoir conquit les terres du torvaldsland. De nombreux conte en vante ses eploits et serait le sauveur du nord qui mettra fin aux bains de sang. Pour trouver ce sauveur afin de le réveillé du sommeil de glace il faut se rendre aux montagnes du Torvaldsberg. Le héro Tarl Cabot et aussi Ivar Forkbeard un hors la lois torvaldslandais parvinrent à trouver l'antre de Thorvald, ce qui éprouva Ivar qui ne vue ni dépouille, ni âme qui vive endormit. Son sauveur Thorvald serait t'il un mythe ? Cette découverte permet toute fois a ce qu'Ivar fait parvenir  " la flèche de Guerre " à tout les chef de villages pour se rassemblé dans le but ultime de mener une bataille contre les Kurii.


"Parmi les armes qui se trouvaient au pied de la couche, d’un carquois cylindrique semblable à ceux que les Torvaldslandais utilisaient toujours, je tirai une longue flèche noire. Elle faisait plus d’un mètre de long. La hampe faisait plus de deux centimètres de diamètre.
La pointe, à arêtes, était en fer. Les plumes faisaient dix centimètres de long, fixées dans la hampe sur trois côtés des plumes de mouette côtière animal aux longues ailes dont le bout des ailes et de la queue étaient noirs comparable à la mouette du Vosk.
Je levai la flèche.
« Qu’est-ce que c’est ? »  demandai-je à Forkbeard.
« C’est une flèche de guerre,» répondit-il.
« Et quel est le signe gravé sur son flanc ? »    demandai-je encore.
« Le signe de Torvald, » souffla-t-il."


« Non, »  dis-je, « nous nous sommes dedans.» Je lui posai la main sur l’épaule. « Ce n’est pas Torvald qui doit s’éveiller dans cette chambre. C’est nous. Ici, espérant que d’autre feront le travail nous ne trouvons que nous-mêmes et une flèche de guerre. Torvald n’essaye-t-il pas de nous dire,par-delà un millénaire que nous devons compter sur nousmêmes et personne d’autre ? Si le pays doit être sauvé c’est par nous et d’autres comme nous qu’il doit être sauvé. C’est toi et moi »  Je regardai tranquillement Forkbeard « Lève, » dis-je, « la Flèche de la Guerre »
Je m’éloignai de la couche la torche à bout de bras. Lentement son visage ayant pris une expression terrible, Forkbeard leva le bras, la flèche serrée dans le poing.
Je n’étais pas du Torvaldsland, mais c’était moi qui étais là quand la Flèche de la Guerre fut levée, près de la couche de Torvald, au cœur de la roche du Torvaldsberg.".




La place des religions dans le Nord


Je savais que les habitants du Torvladsland, dans l’ensemble, quoiqu’ils respectassent, en général, les Prêtres-Rois, ne leur accordent pas une révérence particulière. Ils s’en tiennent aux dieux et aux pratiques du passé. La religion des Prêtres-Rois, institutionnalisée et ritualisée par la Caste des Initiés, n’était guère implantée dans les populations primitives du Nord. Néanmoins, elle dominait dans de nombreuses cités, comme Kassau. Les Initiés se servaient souvent de leur influence et de leur or, de pressions exercées sur le commerce et les marchandises, pour imposer leurs croyances et leurs rites. Parfois, les chefs convertis à leurs pratiques imposaient leurs engagements à leurs subordonnés. En fait, ceci n’était pas rare. En outre, souvent, la conversion d’un chef entraînait, sans qu’il soit nécessaire de recourir à la force, celle de son peuple, lié à lui par un sentiment de loyauté. Parfois, également, la religion des Prêtres-Rois, sous le contrôle des Initiés et avec l’aide de leurs chefs séculiers, était propagée par le feu et l’épée. Parfois, ceux qui voulaient conserver les anciennes pratiques, ou étaient pris à faire le signe du poing, le marteau, au-dessus de leur chope de bière, étaient torturés à mort.



Le signe de Thor


Puis, jetant sa hache sur l’épaule gauche, sans la lâcher, il se tourna vers les Sardar et leva le poing serré. Ce n’était pas seulement un geste de défi adressé aux Prêtres-Rois, mais c’était aussi le poing, le signe du marteau. C’était le signe de Thor.


Forkbeard, à présent, emplit un grand pichet de bière, d’une contenance approximative de cinq gallons, dans un tonneau. Puis il ferma le poing au-dessus. C’était le signe du marteau, le signe de Thor.



Au-dessus du casque, Ivar se pencha et serra le poing, faisant le signe de Thor. Puis il but et me tendit le casque.






Les Stèles


Nous vîmes des serfs, également, dans la foule, et des Prêtres de la Stèle, aux cheveux longs, vêtus de robes blanches, un anneau d’or au bras gauche, un sac de copeaux divinatoires, morceaux de bois trempés dans le sang du bosk sacrifié à l’ouverture de la Fête, à la ceinture; on jette ces morceaux de bois comme des dés, parfois à plusieurs reprises, et les Prêtres de la Stèle les lisent; le temple de la Fête, à l’intérieur duquel se trouve l’anneau du temple, est en bois; non loin de là, dans un bosquet, suspendus à des poteaux, il y avait les cadavres de six bosks, l’un d’entre eux étant celui dont le sacrifice avait marqué l’ouverture de la Fête, six tarsks et six verrs; dans le passé, d’après ce que j’ai entendu dire, six serfs auraient dû être pendus là à la place des six verrs; néanmoins il avait été décidé une génération plus tôt, à l’occasion d’une des rares réunions du Conseil des Prêtres de la Stèle, à laquelle avaient participé les prêtres de toutes les régions, qu’il ne fallait plus sacrifier les serfs; cela ne fut pas décidé, toutefois, pour des raisons humanitaires mais du fait que les serfs, comme les urts ou les petits tharlarions à six doigts, n’étaient pas dignes d’être sacrifiés


Ces stèles, incidemment, sont très colorées et se voient de très loin. Chaque année, elles sont repeintes, généralement la veille de l’Equinoxe de Printemps qui, dans le Nord comme dans le Sud, marque le début de la nouvelle année. Les stèles religieuses sont repeintes par les Prêtres de la Stèle, la veille de la Fête d’Odin, qui a lieu en automne. Si les stèles n’étaient pas entretenues soit par les fermiers sur les terres de qui elles se dressent, soit par les Prêtres de la Stèle, la peinture disparaîtrait en quelques années, ne laissant que la pierre nue. La stèle la plus célèbre est celle du Rocher d’Einar, qui marque la frontière méridionale des territoires du Nord.    




                                                                           

 LA CULTURE ET L'ÉLEVAGE



À présent, des hommes couraient vers le quai. Ils étaient nu-tête, et portaient des vestes de fourrure. Quelques-uns avaient des pantalons de peau, d’autres des tuniques de laine teinte. Je vis, également des champs entourés de murs de pierre. À l’intérieur, court en cette saison, poussait du Sa-Tarna; en outre, il y avait aussi des petits pois, des haricots, des choux, des oignons, des carrées de suls dorés, capables de survivre à cette latitude. Je vis également de petits arbres fruitiers et des ruches où les abeilles produisaient du miel; et il y avait de petites cabanes, ici et là, au toit de planches incliné; à l’intérieur, travaillaient sous doute des artisans; dans d’autres, on devait sécher le poisson ou faire le beurre. Contre la falaise, il y avait un long appentis; on devait y abriter les petits bosks et les verrs, pendant l’hiver, et y entreposer le fourrage; un autre appentis, aux épais murs de bois, à l’ombre de la falaise, devait être la glacière, où on entreposait la glace, descendue des montagnes sur des traîneaux, recouverte d’éclats de bois.


Le Sa-Tarna du Nord, en rangées, jaune et vigoureux, faisait environ vingt-cinq centimètres de haut. À cette latitude, compte tenu de l’effet adoucissant du Courant de Torvald, il mettait environ cent vingt jours à pousser. Cette récolte avait, en fait été semée pendant l’automne précédent, un mois après la Fête de la Moisson. On le sème assez tôt, toutefois, de sorte que les racines puissent se développer avant que le gel ne stoppe temporairement la croissance. Puis grâce à la chaleur du printemps, la terre redevenant molle, la plante, robuste et rude, reprend le dessus. Statistiquement, le Sa-Tarna d’hiver donne davantage que le Sa-Tarna de printemps.


Le Sa-Tarna est la culture principale du Torvaldsland, mais j’ai constaté qu’il y a également de nombreux jardins et qu’on élève des bosks, ainsi que des verrs. Ottar arracha deux radis et Forkbeard et moi, après en avoir essuyé la terre, nous les mangeâmes.


Les topsits du verger de Forkbeard, qui peuvent pousser à cette latitude, alors que les larmas ne le peuvent pas, étaient trop verts pour qu’il soit possible d’en manger. Je souris, me souvenant que les topsits ont invariablement un grand nombre de graines, sauf la variété à longue tige, plus rare. Je n’aime pas beaucoup les topsits parce qu’ils sont amers. D’autres personnes les apprécient. En général, on les coupe en tranches et on les sert avec du miel, ou bien dans les sirops, ou bien pour assaisonner de nombreux plats. Ils sont également utilisés pour pallier les déficiences nutritionnelles, en mer, pendant les longs voyages, du fait qu’ils contiennent, je suppose, beaucoup de vitamine C. On les appelle parfois : le larma du marin. Ce sont des fruits à la peau dure qu’il n’est pas difficile de faire sécher et de stocker. À bord des serpents, on les entrepose dans de petits tonneaux généralement rassemblés, avec les légumes, sous la barque retournée.



                                                 
                                                 

LE COMMERCE DANS LE TORVALDSLAND


Les activités principales de Kassau sont le commerce, le bois et la pêche. Le parsit, poisson mince et rayé, dispose d’immenses réserves de plancton, au nord de la ville, de sorte qu’il est possible d’en pêcher des quantités énormes, principalement au printemps et à l’automne. L’odeur des appentis où les habitants de Kassau font sécher le poisson est perceptible jusqu’en pleine mer. Le commerce concerne principalement les fourrures du Nord, qui sont échangées contre des armes, des barres de fer, du sel et des produits de luxe tels que les bijoux et les soieries du Sud, généralement transportés à Kassau, depuis Lydius, dans des barques de cabotage à dix rames. Le bois est, naturellement, une production importante. Il est généralement débité et exporté au Nord. Le Torvaldsland, bien qu’il ne soit pas dépourvu d’arbres, est aride. L’arbre Ka-la-na, bois fin, et l’arbre Tem, bois souple, par exemple, ne peuvent y pousser. Ces deux bois sont très appréciés dans le Nord.



Les habitants du Torvaldsland sont adroits de leurs mains. Les exportations vers le Sud, naturellement, sont essentiellement constituées de fourrures achetées au Torvaldsland et de tonneaux de parsit salé et fumé. Mais de plus  tout matériaux forgés est très prisés, car ils sont réputés dans la fabrication de bons produits et d'armes de très bonne qualité et très solide dépassant nettement les autre contré dont les produits ou armes se détériorent plus rapidement.




Les habitants du Torvaldsland, incidemment, se procurent le sel dans l’eau de mer ou en faisant brûler des algues. Néanmoins, c’est également une monnaie d’échange et il arrive qu’ils en prennent au cours de leurs raids. Ils sont de très bon navigateur sur leur serpent leur forces leur permettent de ramé pendant de long passang qu'ils peuvent mettre à sac tout une cité ou un village en peu de temps dès leur accostages. Leur butins qui sont des denrés, de l'or, des femmes parce que leur beauté aurait attirés leur attention est soit gardé ou justement revendu lors de leur commerce.

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